les Calides sont un peuple aux origines guerrières. Ils excellent dans l’art de manier le sabre, arme traditionnelle Calide, ceci depuis l’époque de Mû.
De par leur passé mouvementé, ils savent se montrer accueillants mais restent sur leurs grades constamment. Ils ne sont pas agressifs en soit, mais s’ils estiment que le danger est là, ils l’effaceront au plus vite, sans complexes ni remords.
Il n’existe aucun devoir d’hospitalité envers le voyageur, mais souvent la porte restera ouverte. Cependant, le voyageur restera surveillé durant son séjour.
Par contre, les Calides n’ont aucun scrupule à couper les liens si besoin en est. Leur cœur ne s’attache que peu.
Peuple robuste, bien qu’aux traits elfes noirs, les hommes comme les femmes exercent les mêmes tâches : chasse, pêche, navigation, culture, tannage, art du tissage (les tentures ont un style très particulier), minage, bûcheronnage, etc.
Il n’est que pour les spécialités Calides qu’il est nécessaire à tous de faire ses preuves (dressage de chevaux, forge, maître de combat).
L’économie est nationale, il n’existe aucun échange monétaire au sein de la communauté.
Tout est à portée de tous. Pour cela, il existe des métiers dont le rôle est uniquement contrôler que tous s’investissent dans la communauté. C’est un système qui s’avers efficace car ce peuple est un peuple soudé.
La monnaie est connue mais ne demeure qu’une échelle de valeur pour traiter avec les contrées étrangères. Elle est gérée par l’intendance du royaume.
L’éducation est faite de façon naturelle, jusqu’à l’age de 25 ans, ou il est estimé que chacun a obtenue une maturité assez poussée pour pouvoir s’investir sérieusement dans un domaine particulier. A cet age la, chaque Calide se rend devant un maître, dans le domaine qu’il a choisi et sera formé à celui-ci.
Pour ce qui en est de la culture générale, la régence a fait en sorte de développer les bases.
Tout Calide a appris dans une école à parler le Hyarat, à l’écrire. Il a également reçu des cours sur Akisroc la belle, appris à compter et reçu des cours d’histoire et de géographie sur les terres de son peuple et sur Dragostina. Bien sure, ceci n’en fait pas des maîtres dans ce domaine et ne peut que fournir les bases.
L’une des bases même de l’éducation Calide est la suivante : former à penser par soi même, avec objectivité.
Accueil 
Rechercher 
Trombinoscope 
Le nouveau monde 
Sujet: Moeurs et culture